Messe des familles : paroisses Notre-Dame des Vignes et Pays de Franois
Au moment des lectures, les enfants de 3 à 11 ans ont eu la possibilité de se retrouver dans les salles de caté avec leurs catéchistes et quelques parents : les plus jeunes ont réfléchi avec Maud autour du carême et ont pu réaliser un puzzle, alors que les plus grands ont échangé à partir de l’Évangile du jour et la transfiguration : Jésus est transformé, il devient lumineux comme un soleil. Les enfants ont cherché les petites lumières qui rendent leur vie plus douce et plus belle et ont noté leurs idées sur des rayons de soleil qu’ils ont rapportés à l’église et ont bien réchauffé l’assemblée :
Pour les enfants, être transfiguré, c’est :
• Comme le printemps qui transforme les paysages autour de nous. Quand on arrive en vacances à la mer et que tant de beauté nous bouleverse. Ou encore la transformation de la chenille en un très beau papillon.
• Aujourd’hui c’est la fête des grands-mères. Les enfants savent comme cela peut faire plaisir, d’être là et de donner son amour. C’est comme si un soleil illumine le visage de l’être aimé. Comme quand on reçoit un chien ou un chat tant désiré et que l’on est heureux comme jamais.
• Quand on vit des moments particuliers comme notre 1ère communion, l’année dernière, notre joie se voyait, on était rempli de bonheur, et les invités à la fête étaient, eux aussi, heureux. Quand on se souvient de son premier Noël.
• Les sourires, comme la bonne humeur, cela se partage, se transmet comme les fous rires, le monde est tellement plus beau quand on est heureux. Quand on a la chance d’avoir un grand-père blagueur.
• Comme après une bêtise, quand on s’excuse. On est tellement mieux, léger comme une plume. Le pardon reçu est un bien précieux. Quand on se réconcilie avec un ami.
• Quand on prie pour quelqu’un qui en a besoin, quand on fait une place pour Jésus dans notre journée… notre cœur est plein de douceur. Quand on va au caté ou à la messe sans en avoir trop envie et qu’on est si content après.
Jésus, que ta lumière nous rassure et nous guide en confiance sur le chemin de transformation qui nous mène à Pâques, toi qui est le fils de Dieu comme l’on entendu Pierre, Jacques et Jean.
Pour son homélie, Bruno nous a partagé un souvenir de sa vie, vieux de 40 ans, mais qui reste très intense et ressourçant quand il pense à la bénédiction de Dieu. Ainsi, il a su nous aider à ressentir le sens profond de ce mot : « bénir » que l’on retrouve 5 fois dans la 1ère lecture « Vocation d’Abraham, père du peuple de Dieu (Gn 12, 1-4a) », ce mot qui nous accompagne dans les sacrements et les célébrations mais dont nous avons parfois oublié la signification.
Une nouvelle fois merci à l’orchestre, à la chorale, et à tous ceux qui étaient présents ; nous avons vécu un beau moment.
Les catéchistes
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