Prions pour la Création - lundi 26/09/22 à 14h à Claire Combe
Chers amis,
Jeudi 1er septembre a débuté le Temps pour la Création. C'est une période œcuménique qui s'étend du 1er septembre (journée mondiale de prière pour la sauvegarde de la Création, proposée par le patriarche Dimitrios 1er en 1989) au 4 octobre (fête de la Saint François d'Assise, saint patron des écologistes).
Amis de notre Terre, croyants ou non, nous vous proposons de venir prendre un temps de prière/intériorité pour notre Terre, dans le beau cadre de Claire Combe, et d'unir ensemble nos voix à celles de tous ceux s’inquiètent, qui luttent, qui prient et qui espèrent.
Si vous le souhaitez, vous pouvez venir avec un texte, un chant, une prière, un objet qui vous parle pour agrémenter ce temps.
RDV lundi 26 septembre à 14 heures à Claire Combe. Nous partagerons ensuite une boisson.
Ce sera l'occasion pour ceux qui ne le connaissent pas de découvrir le site et le projet de Claire Combe.
N'hésitez pas à nous confirmer votre participation par retour de mail ou par SMS (auprès d'Hélène au 06 71 70 27 67). Un co-voiturage pourra s'organiser depuis le centre-ville car il y a peu de places de parking à Claire Combe. Claire-Combe se situe chemin de la Jourande à Besançon.
En cas de pluie nous aurons une tente pour nous abriter.
Au plaisir de se retrouver,
Hélène, pour le service écologie intégrale du diocèse
Extrait du message du pape François à l'occasion de la journée mondiale de prière pour la sauvegarde de la Création 2022 : "D’abord, c'est la sœur mère terre qui crie. À la merci de nos excès de consommation, elle gémit et nous supplie d’arrêter nos abus et sa destruction. Ensuite, ce sont les différentes créatures qui crient. À la merci d’un « anthropocentrisme despotique », aux antipodes de la centralité du Christ dans l’œuvre de la création, d’innombrables espèces sont en voie de disparition, cessant à jamais leurs hymnes de louange à Dieu. Mais ce sont aussi les plus pauvres d’entre nous qui crient. Exposés à la crise climatique, les pauvres subissent le plus durement l’impact des sécheresses, des inondations, des ouragans et des vagues de chaleur qui continuent à devenir plus intenses et plus fréquents. Encore une fois, nos frères et sœurs des peuples autochtones crient. En raison d’intérêts économiques prédateurs, leurs territoires ancestraux sont envahis et dévastés de toutes parts, provoquant « une clameur vers le ciel ». Enfin, nos enfants crient. Menacés par un égoïsme à courte vue, les adolescents nous demandent avec anxiété, à nous adultes, de faire tout notre possible pour empêcher ou du moins limiter l’effondrement des écosystèmes de notre planète."